Des villes et des départements prennent actuellement des arrêtés concernant l’utilisation des pesticides, notamment à proximité des lieux de vie, pour des raisons de santé publique.
Alors que nous avions déjà dénoncé l’implantation du futur collège sur des terres agricoles qui doivent normalement être préservées de l’étalement urbain. Nous ne pouvons pas accepter que des produits « phytopharmaceutiques » soient utilisés aux abords de cet établissement.
De très nombreux agriculteurs ont pris la mesure des changements à opérer. N’oublions pas qu’ils en sont également les premières victimes. Cette mutation du modèle agricole reste encore trop hésitante et n’est pas suffisamment accompagnée par les pouvoirs publics. La santé de nos enfants doit être une priorité absolue.