Nous attendions des orientations budgétaires particulières en réponse à la crise sanitaire, sociale et économique. Il n’en fut rien.
Cette crise a mis en exergue les lacunes du système mais aussi des initiatives innovantes et solidaires. Le conseil départemental doit s’appuyer sur ces forces et faiblesses pour repenser ses politiques dans une vision plus partenariale, notamment dans son rapport avec le monde associatif, très présent en matière de solidarité. Sa politique d’insertion doit être renforcée et à l’écoute des premiers concernés. Une véritable politique jeunesse doit voir le jour pour redonner espoir.
Le département doit créer une nouvelle dynamique collective. Il en va de l’avenir des habitants de la Vienne, des plus fragiles et de sa jeunesse, qui n’ont pas soif de béton ou de kérosène.